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Qui sommes-nous ?

Le sens de notre engagement commun avec France Insoumise :

Avec France Insoumise, une force populaire et citoyenne s’est levée

Au regard de défis sociaux, écologiques et démocratiques qui s’imposent à toutes et tous, nous voulons être partie prenante d’un mouvement qui redonne des perspectives et de l’espoir. Nous voulons être au cœur de cette vague et de ce potentiel de résistance et d’alternative au néolibéralisme.

Nous avons soutenu le programme de la FI, L’avenir en commun, l’espoir d’une la révolution citoyenne et un mode de rassemblement qui veut en finir avec des pratiques d’appareils rejetées par les citoyens. Ce programme de rupture avec ce néolibéralisme qui structure toutes les politiques menées par des gouvernements de droite ou prétendument de gauche depuis des décennies est compris et partagé par des millions de citoyens. Parce que nous savons que la rupture assumée avec les partis liés de plus ou moins près à la « gauche » de soumission et de trahison est pour beaucoup dans le succès et la reconnaissance de la France Insoumise, l’enjeu principal est de bâtir un rassemblement populaire majoritaire pour répondre aux enjeux de notre temps.

Avec France Insoumise, ce mouvement a trouvé une expression politique inédite autour du programme L’avenir en commun et d’un mode de participation ouvert à toutes et tous. Sa traduction électorale a bouleversé le champ politique. Il a contribué à remobiliser l’électorat populaire. Il a permis surtout à plusieurs dizaines de milliers de citoyennes et de citoyens de se rassembler et d’agir et de rejoindre les milliers de groupes d’action qui forment l’ossature de notre mouvement.

Il reste bien entendu à préciser la démarche qui s’affinera en avançant. Comment articuler l’affirmation de la FI avec la collaboration avec les autres forces du mouvement social dans les campagnes politiques indispensables qui seront menées ? Comment convaincre tout-e-s les partisans de la transformation sociale et écologique de converger dans une même formation politique qui aujourd’hui ne peut être que la FI. Comment élaborer collectivement les réponses aux défis nouveaux posés par une situation politique en pleine évolution ?

Au service de la réussite de la France Insoumise.

Tout dans la situation politique actuelle appelle à agir sans attendre. Sont en jeu la construction des rapports de forces nécessaires pour mettre en échec le coup d’état social et démocratique qui est en marche et l’effondrement écologique en cours, en lien avec le réchauffement climatique.

Mais rien ne sera possible sans que les classes populaires prennent leurs affaires en main, ce à quoi appelle la France Insoumise et, au-delà des actions de résistance, qu’elles puissent porter elle-mêmes un projet de transformation sociale et écologique.

Ce qui nous motive et nous rassemble est avant tout la réussite de cette perspective et c’est pour cela que nous avons rejoint la France Insoumise. Aussi nous mettons-nous au service de cette cause. Venus de l’extrême-gauche, de la gauche radicale et autogestionnaire, de l’altermondialisme et du mouvement social, de l’écologique politique, nous avons l’ambition d’être utile au travail collectif et à la réflexion de ce mouvement. Nous concevons cet apport en lien avec notre histoire et notre culture politiques. Nous voulons rendre plus présente la part la plus vivante de la culture autogestionnaire, dont nous nous réclamons : la primauté à accorder à l’auto organisation de la société, l’appropriation sociale et la mise en commun des moyens de production, de distribution, de communication et d’échange, le sens et le respect du pluralisme, l’exigence démocratique entendue comme exercice effectif de délibération populaire et de co-décision dans tous les domaines, la recherche permanente de l’unité d’action, des liens privilégiés avec le mouvement social dans le respect de son indépendance.

L’Avenir en commun est la base qui conduit l’action des insoumis·es. Le but, c’est de réunir les conditions de sa mise en œuvre dans le cadre de l’exercice du pouvoir local et national. La prise du pouvoir politique en vue d’un vrai changement est une question non résolue en Europe depuis des décennies. Il nous semble qu’une stratégie pour progresser dans cette direction doive combiner :

  • la multiplication des alternatives concrètes qui préfigurent la société dont nous rêvons (développement de lieux autogérés, diffusion de pratiques écoresponsables etc…) ;
  • les luttes, la confrontation sociale dans le monde du travail ou sur la base de revendications écologiques, démocratiques, sociétales, conformes à notre projet de société ;
  • la conquête de positions institutionnelles à travers les processus électoraux.

Le rôle politique central de la FI.

Même si nous n’avons pas toutes et tous individuellement ou collectivement rejoint la France insoumise au même moment, celle-ci représente aujourd’hui le mouvement capable de porter l’alternative pour laquelle nous nous battons. Nous en tirons toutes les conséquences organisationnelles et politiques.

La création du mouvement politique Ensemble s’est faite dans le cadre du Front de gauche. Ensemble n’a pas tiré à temps les conséquences de son effacement. Et bien qu’ayant soutenu la candidature de JL Mélenchon, Ensemble n’a pas su saisir le souffle représenté par la candidature de la FI hors des structures partidaires classiques, ce qui l’a placé, en tant que mouvement, dans une situation de paralysie. Poursuivre ce cours serait se condamner à l’impuissance. Le Front de Gauche a échoué et aujourd’hui toute tentative de réactivation d’une telle formule politique est illusoire. Nous tirons le bilan des innombrables et souvent assez dérisoires tentatives engagées pour réconcilier, au mépris de toute clarté, des « gauches » que tout oppose. Personne ne peut se satisfaire d’une absence de perspective crédible, à l’heure de l’urgence sociale, démocratique et écologique.

C’est la limite rencontrée par les signataires de « l’appel Front Commun » avec lesquels un dialogue reste nécessaire, pour convaincre celles et ceux qui ne l’ont pas encore fait de la justesse de renforcer la FI.

Une recomposition majeure du champ politique est en cours. Elle n’est pas terminée. Elle marginalise les formations engluées dans des stratégies héritées du passé. L’enjeu pour la France Insoumise est de s’enraciner dans la société pour être de façon pérenne la force porteuse d’une alternative politique au néolibéralisme.

Les prochaines échéances électorales seront déterminantes. La bataille des élections européennes doit s’appuyer sur une orientation qui suppose une rupture avec les traités européens et de combiner l’application de notre politique de changement au niveau national et une bataille au niveau européen dans la perspective d’une Europe écologiste, solidaire et démocratique. Nous voulons partager ce projet avec d’autres formations politiques en Europe, du Bloco de Esquerda au Portugal à l’Alternative Rouge et verte danoise en passant par Die Linke en Allemagne et Podemos. Les élections municipales pourraient être l’occasion pour la FI d’impulser une puissante dynamique citoyenne, à vocation majoritaire dans une série de villes.

Nous savons que rien ne nous sera donné et qu’aucune voie n’est tracée d’avance. Nous savons la détermination sans faille d’une classe dirigeante et de ses soutiens médiatiques prêts aux pires calomnies et manipulations. Cette volonté impose d’inventer un nouveau futur et de faire vivre et croître un mouvement politique à l’image du projet qui est le nôtre. Soit un mouvement engagé dans un processus constituant, évolutif, auto-organisé démocratiquement et qui s’élargira et gagnera en efficacité par l’action, les tâtonnements, les rectifications. Tel est le défi lancé par la FI.

L’accent mis par nous sur sa construction démocratique est dans notre esprit un gage d’efficacité dans la durée. Il s’agit à nos yeux de concilier ainsi deux exigences complémentaires : le souci légitime de privilégier ce qui nous rassemble au sein de France Insoumise et la prise en compte de différents points de vue pour parvenir à la synthèse la plus aboutie. C’est une problématique que nous voulons aborder dans le double respect des cadres dont s’est dotée la France Insoumise et des aspirations démocratiques de celles et ceux qui la constituent à tous les niveaux. C’est là le sens des contributions que nous avons voulu soumettre à la réflexion collective à l’occasion de la Convention de Clermont de novembre 2017. Elles témoignent de notre volonté commune de partager la responsabilité de construire ensemble la FI en apportant notre part d’analyse et de propositions et en prenant notre part de tâches à accomplir.

  • Texte adopté le 4 février 2018 par le regroupement de l’association Ensemble et Insoumis et du courant Ensemble dans la FI.

En 2017 faisons Front commun !

En 2017 faisons Front commun !

Citoyennes et citoyens de gauche, organisés ou non, nous voulons que les élections présidentielle et législatives de 2017 soient utiles pour ouvrir dans notre pays une perspective politique de progrès humain, démocratique, social et écologique.

Après cinq ans de gouvernements se réclamant de la gauche tout en poursuivant les politiques néolibérales et autoritaires de la droite, l’écœurement et la colère risquent de se traduire par une abstention record de l’électorat populaire, une défaite historique du parti socialiste et la victoire d’une droite radicalisée flanquée d’une extrême droite plus menaçante que jamais. Quant à la gauche de transformation sociale et écologique, qui avait commencé à créer du neuf, notamment avec le Front de gauche, elle pourrait bien revenir une nouvelle fois à sa dispersion antérieure et tuer pour longtemps l’espoir qu’elle avait réussi à faire naître en 2012. Nous ne voulons pas de ce scenario épouvantable qui aboutirait à un très dangereux face à face entre néolibéralisme et national-populisme, confortant la supercherie visant à faire passer celui-ci pour la seule alternative envisageable au « système » qui ravage nos sociétés. Le pire deviendrait alors possible.

Au vu des risques bien réels d’une catastrophe politique aux conséquences incalculables, nous en appelons à l’esprit de responsabilité et d’audace de toutes les forces de la gauche de transformation sociale et écologiste. Elles sont diverses, à l’image du peuple qu’il s’agit de rassembler, comme des combats dont elles sont héritières : socialiste, communiste, écologiste, libertaire, féministe, anticolonialiste, pacifiste, antiraciste, altermondialistes, etc. Mais elles ont tellement en commun, comme l’ont montré l’adoption du programme « l’Humain d’abord » il y a cinq ans, les luttes que nous avons menées ensemble et l’intérêt soulevé en Europe par des expériences novatrices comme celles de Syriza et Podemos, qu’il serait inacceptable qu’elles ne réussissent pas à se rassembler aujourd’hui pour mener ensemble le combat difficile qui s’annonce.

Dans cet esprit, nous décidons de nous engager dans la campagne électorale de 2017. Les jeux ne sont pas faits. En profondeur, le peuple français est en attente. Les mobilisations au moment de la COP 21, celles contre la déchéance de nationalité et à Notre Dame des Landes, contre la loi travail et Nuit debout ont montré que, dans l’autonomie de leurs mouvements et dans leur diversité, les exigences de justice sociale et écologiste, d’égalité, de démocratie sont toujours bien vivantes. Elles doivent pouvoir trouver l’expression de leur potentiel politique. Il est donc vital de créer un élan, et pour cela de jeter de toute urgence les bases du rassemblement politique à construire.

Cela suppose une nouvelle proposition politique, un programme et des candidatures en rupture avec l’ordre productiviste et néolibéral, permettant un très large rassemblement de forces et de personnalités représentatives des différentes sensibilités de gauche, à égalité avec des citoyennes et des citoyens engagées dans la vie politique, syndicale, associative, intellectuelle et culturelle.

On assiste au contraire à un éparpillement suicidaire. EELV s’apprête à désigner son candidat. Les « frondeurs » du PS risquent, après la primaire, de se retrouver à soutenir un candidat qu’ils n’ont eu de cesse de combattre. Le Front de Gauche est éclaté. Le Parti communiste désigne ses candidats aux législatives et annonce qu’il décidera le 5 novembre prochain de la candidature qu’il présentera ou soutiendra pour la présidentielle. Jean-Luc Mélenchon a annoncé la sienne et entend que « La France insoumise » qu’il a créée soit le cadre unique d’organisation des campagnes électorales de l’an prochain. Tout cela ne pourrait aboutir qu’à des candidatures fratricides, y compris aux législatives, et à un désastre complet.

Nous refusons de laisser une nouvelle fois le piège de l’élection présidentielle et les débats sur une candidature ruiner tout espoir avec la vaine recherche d’une femme ou d’un homme providentiel. Une candidature de large rassemblement est possible et peut résulter d’une construction collective impliquant directement, au-delà des forces concernées, les citoyen-nes. Quels que soient les arguments des uns et des autres ou les divergences que nous pouvons avoir avec lui, la candidature de Jean-Luc Mélenchon est dans les circonstances actuelles installée dans le paysage politique. Elle exprime dans les classes populaires le refus à gauche de la politique mise en œuvre par François Hollande. A six mois de l’échéance, il serait, à nos yeux, irresponsable de ne pas prendre acte de cette situation. Cependant son mouvement « La France insoumise » ne représente qu’une partie des forces disponibles. Réussir à les rassembler très largement nécessite une alternative politique pluraliste, démocratique, répondant aux exigences d’un fonctionnement plus horizontal et citoyen portées notamment par la mobilisation contre la loi travail et les Nuits debout.

Il faut donc franchir une étape. Afin de nous engager toutes et tous ensemble dans ce combat politique si important pour l’avenir de notre pays, il est indispensable que soit constitué au plan national, avec toutes les parties concernées, un lieu d’échange et de coordination qui rendra compte de notre diversité politique et sera ouverte aux acteurs des mouvements sociaux comme aux intellectuels, créateurs et artistes, qui manifestera notre ambition commune et donnera à nos campagnes présidentielle et législatives la plus grande efficacité. Nous proposons que celles et ceux qui entendent se joindre à notre appel contribuent activement à la convergence des forces sociales et politiques de gauche et écologiste dans les villes, les départements et les 577 circonscriptions législatives, avec les organisations locales du PCF, du PG et de « La France insoumise », d’Ensemble, d’EELV et des groupes de socialistes critiques, ceux de l’Appel des cent, les assemblées citoyennes créées dans le cadre du Front de gauche ainsi que les citoyennes et citoyens, celles et ceux qui se sont mobilisés depuis des mois contre la politique du gouvernement, les femmes et les hommes susceptibles de participer à une démarche de rassemblement et d’innovation à gauche pour 2017. C’est la clé d’une convergence à gauche audacieuse et déterminée, d’une véritable dynamique collective et donc du succès. Nous prenons à cette fin toutes les initiatives nécessaires.

Nous appelons toutes les femmes, tous les hommes et toutes les forces de progrès à se joindre à cette démarche en signant cet appel et en s’engageant concrètement pour la réalisation des objectifs qu’il se fixe. C’est la condition pour échapper au piège qui nous est tendu en 2017. Et pour que cette campagne marque une étape décisive dans la reconstruction dans notre pays d’une gauche digne de ce nom.

Signer En 2017 faisons Front commun !

Les 99 premiers signataires

Théo ABRAMOVITZ, militant communiste ; Hélène ADAM, syndicaliste ; Christophe AGUITON, militant altermondialiste ; Sylviane AINARDI, députée européenne (1989-2004) ; Sylvie ALTMAN, maire de Villeneuve-Saint-Georges ; Nils ANDERSSON, éditeur ; Génica BACZYNSKI, écrivain ; Alain BASCOULERGUE, militant communiste ; Emmanuelle BECKER, conseillère de Paris ; Yannick BEDIN, élu PCF de Bourges ; HabibBEJAOUI, syndicaliste ; Maxime BENATOUIL, animateur du réseau Transform !; Nawel BENCHLIKA, syndicaliste ; Christian BENEDETTI, metteur en scène et directeur de théâtre ; Gilles BERNARD, syndicaliste ; Jacques BIDET, philosophe ; Gérard BILLON, syndicaliste ; Françoise BONTOUX, militante féministe ; Jean-Pierre BONTOUX, ancien Maire de Mitry-Mory ; Nicole BORVO COHEN-SEAT, sénatrice honoraire ; JacquesBOURGOIN, ancien Maire et conseiller général de Gennevilliers ; Marie-Pierre BOURSIER, militante communiste ; Patrick BRODY, syndicaliste ; François CALARET, Ensemble ; Julie CAUPENNE, enseignante, secrétaire générale de l’Appel des appels ; Patrick CHAMOISEAU, écrivain ; Philippe COANET, syndicaliste (92) ; PatriceCOHEN-SEAT, président d’honneur d’Espace-Marx ; Jacques COSSARD, économiste ; Alexis CUKIER, philosophe ; Pierre-Paul DANNA, maire de La Tour sur Tinée ; Jean-Michel DREVON, militant associatif et syndical ; Michel DUFFOUR, ancien ministre ; Jean-Paul DUPARC, journaliste (Nice) ; Cédric DURAND, économiste ; Annie ERNAUX, écrivaine ; Jacques FATH ; Fanny GAILLANNE, conseillère de Paris ; IsabelleGARO, philosophe ; Emmanuelle GAZIELLO, porte-parole du Mouvement pour la 6e République ; GregoryGEMINEL, militant internationaliste ; Frederick GENEVEE, historien ; Brigitte GONTHIER-MAURIN, sénatrice ; Fabrice GOUGI, maître luthier ; Margot GOUGI, comptable ; Pierre-François GROND, Ensemble ; JanetteHABEL, universitaire ; Jean-Marie HARRIBEY, économiste ; Ingrid HAYES, Ensemble ; Claudie HILSUM,journaliste ; Muguette JACQUAINT, députée honoraire ; Anne JOLLET, historienne ; Emmanuelle JOSHUA, Ensemble ; Razmig KEUCHEYAN, sociologue ; Pierre KHALFA, responsable associatif ; Jean-Pierre LANDAIS, militant communiste ; Annick LE GOFF, militante communiste, Yann LE LANN président d’Espaces-Marx ; Frédéric LEBARON, sociologue ; Patrice LECLERC, maire de Gennevilliers ; Marcel LOPEZ, PCF (09) ; Laurence LYONNAIS, Ensemble ; Maxence MAILLARD, étudiant ; Lucien MAREST, militant communiste ; RogerMARTELLI, historien ; Sonia MASSON, metteur en scène ; Claude MAZAURIC, historien ; Manuel MENAL, cadre territorial ; Alain MENNESSON, syndicaliste ; François MEYROUNE, ancien Maire de Migennes ; OlivierMOLLAZ, Ensemble ; Gérard MORDILLAT, écrivain, cinéaste ; Frank MOULY, élu à Chelles; Gérard MUTEAU, syndicaliste ; Bernard NOEL, poète et romancier ; Pierre OUZOULIAS, Conseiller départemental (92) ; DavidPELLICER, militant communiste ; Guillaume PIGEARD de GURBERT, philosophe ; Michel PINCON, sociologue ; Monique PINCON-CHARLOT, sociologue ; Hugo POIDEVIN, élu à Cherbourg ; Gilles POUX, maire de La Courneuve ; Yvon QUINIOU, philosophe ; Alain RAYMONT, militant communiste ; Jérôme RELINGER, ingénieur ; Nora SAINT-GAL, élue ; Lucien SEVE, philosophe ; Jacques TESSIER, syndicaliste ; Jean-JacquesTEVENART, médecin ; Marc THIBERVILLE, syndicaliste ; André TOSEL, philosophe ; Jean-MichelTOULOUSE, ancien directeur de centre hospitalier ; Hugo TOUZET, élu de Paris ; Catherine TRICOT, architecte-urbaniste ; Marion VAZEILLE-PONCET, militante communiste ; Denis VEMCLEEFS, conseiller municipal de Saint-Ouen, acteur culturel ; Joëlle VOGLIERI-COURTEL, militante de l’éducation populaire (77) ; Louis WEBER, ancien syndicaliste, éditeur ; Malika ZEDIRI, association de Chômeurs.

Agenda COP21 à Rouen et ailleurs

Dates de mobilisation générale

A Paris, à Rouen, à Montreuil…

28-29 novembre : à Paris, en région, et dans tous les pays du monde, marches pour le climat pour l’ouverture de la COP.

Départ de l’église de St Sever à 14h

le samedi 28 novembre, arrivée au Palais de Justice de Rouen. 

La marche fera des arrêts afin de permettre des prises de parole par les associations membres et de donner lieu à des actions symboliques avec des visuels qui resteront sur place même après notre passage:

– Cité administrative

– Conseil Général

– Chambre de Commerce et d’Industrie

– TCAR

– EDF 

– 05-06 décembre: à Montreuil, Sommet Citoyen pour le Climat + Village Mondial des Alternatives + Marché Fermier 

– 07-11 décembre: au Centquatre (19ème), Zone d’Action pour le Climat, préparation des actions, points quotidiens sur le résultat des négociations + activités proposées par les associations

– 12 décembre (D12): trois actions prévues… à venir